Bela Lugosi immortel

Je commence par la cerise sur le gâteau : l’impeccable présentation de ce coffret qui ravira les amateurs, les collectionneurs… et les esthètes ! Sur le dessus, la photo noir et blanc de l’acteur vous fixe avec cette expression inquiétante et sombre qui le caractérise. Il semble vous défier d’oser passer la barrière de ce regard, d’entrer dans son univers, de le rejoindre dans les films qui sont proposés.

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Vous avez dit vampire ?

Au commencement il y eut Bram Stoker qui traduisit à sa façon l’histoire de Vlad Basarab dit ‘Tepes’ (l’empaleur) ou Draculea (le dragonneau). Dracula, l’œuvre la plus connue de Stoker, parue en 1897, est aussi la plus méconnue. Ces images qui viennent d’ailleurs mais tellement présentes quand elles se reflètent sur nos rétines par l’intermédiaire des écrans de cinéma ont complètement fait oublier cette œuvre poignante et romantique. Si vous ne me croyez pas lisez-le. Vous serez alors à même de juger tout le drame de ce vampire qui meurt de trop aimer. Vous serez à même d’évaluer la distance entre le roman et ces différentes manières qu’a eu le cinéma de raconter un vampire.

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Du bon usage de la quincaillerie galactique

Mesdames, Messieurs, bonsoir. Je constate qu’il y a encore un peu d’agitation dans la salle. Vous ne vous êtes pas remis de ma brillante démonstration sur Blue Velvet de l’article précédent ? Comment ? Pas tous à la fois ! Vous n’êtes pas venu suivre des cours de cuisine ? Ah ! Je vois ! C’est le mot quincaillerie qui vous inquiète. J’aurais du m’en douter. Pourtant, en amateurs de films de science-fiction, vous n’avez pu manquer de constater l’utilisation assez systématique de matériel hétéroclite et clinquant : pistolaser, soucoupes volantes, scaphandres argentés, ceinture anti-gravité, matériel informatique de pointe, communicateurs émettant des bips inutiles etc. C’est ce que je nomme : la quincaillerie galactique.

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